dimanche 31 mai 2009

L'oeil d'horus :


D'après le mythe, Horus, fils d'Isis et d'Osiris, aurait perdu un
oeil dans le combat mené contre son oncle Seth pour venger
son père que ce dernier avait assassiné.

Au cours du combat,
Seth lui arracha l'oeil gauche, le découpa (en six morceaux,
d'après une version de la légende) et jeta les morceaux dans le
Nil. À l'aide d'un filet, Thot repêcha tous les morceaux sauf
un. Il suppléa miraculeusement le 6e fragment manquant pour
permettre à l'oeil de fonctionner de nouveau, rendant ainsi à
Horus son intégrité physique.

L'OEil Oudjat avait une fonction magique liée à la prophylaxie,
à la restauration de la complétude et à la vision de « l'invisible
». Il fut représenté sur les sarcophages et sur les pectoraux.
Les innombrables amulettes en forme d'Oudjat protégeaient
leurs porteurs. Lors de la momification, les embaumeurs le
plaçaient sur les incisions qu'ils avaient pratiquées. L'OEil
Oudjat était aussi peint sur les proues des bateaux, leur
permettant de « voir » et de tenir leur cap.

samedi 30 mai 2009

Planche 4 : l'existence de l'Ame :

l'existence de l'Ame :

L'âme, selon certains courants religieux et philosophiques, est le principe vital, immanent ou transcendant, de toute entité douée de vie, pour autant que ce principe puisse être distingué de la vie-même.

Le terme provient du mot latin anima qui a donné « animé », « animation », « animal ».


On la définit souvent comme la capacité à ressentir, à s’émouvoir, elle est alors une caractéristique propre à l’Homme, aussi peut-elle se personnifier en mythologie par Psyché, (gr: Ψυχή qui * signifie souffle).

Elle est souvent confondue avec l'ensemble des fonctions psychiques constituant la
psyché, instrument qu'elle "anime".

L'homme est porté à attribuer de préférence une âme à ce qui change et évolue avec une certaine autonomie, mais par extension, tout élément naturel, par exemple une montagne, peut être investi d'une sorte de conscience avec laquelle il est d'une façon ou d'une autre possible d'interagir .

Ce comportement s'il est partagé par l'ensemble d'une culture s'appelle animisme.

Dans ce paradigme, chaque entité est douée d'intentionnalité, ce qui donne lieu à l'émergence de rituels pour se concilier ses faveurs.

La notion d’âme joue un grand rôle dans la croyance religieuse. Avec ce concept vitaliste,

la mort devient moins mystérieuse

: lorsqu’une personne meurt, son âme la quitte, raison pour laquelle elle
devient inerte ; cette âme pourrait alors revenir sous forme de fantôme, ou bien aller vers un Au-delà (un paradis ou un enfer).

Concentrant la fonction vitale essentielle, l’âme devient un espoir de
vie éternelle de l'essentiel de la personne et rien ne s'oppose même à sa réincarnation.

Ainsi chargée de toutes les vertus, l’âme est alors la face cachée de l’être ; elle devient le moteur de l’action humaine, la capacité à faire le bien et le mal.

Le concept d’âme, tacitement associé à celui d’immortalité, reste, selon les modernes, imputé à Platon.

Pour l’esprit contemporain, pour qui « l’existence précède l’essence » (J.-P. Sartre) l’âme reste un mythe que le matérialisme récuse totalement.

Depuis Platon, les Égyptiens ou le Vedanta,
l’être humain est pourvu de

plusieurs « âmes » hiérarchiquement emboîtées

dont le caractère d’immortalité reste tout à fait relatif. Seule l’âme supérieure jouirait de cette possibilité en se réincarnant suivant des lois dites “karmiques”.

planche 4 from wiki sélection marmara

jeudi 28 mai 2009

Le cerveau :



En anatomie animale et humaine, le cerveau (ou prosencéphale) est l'organe central supervisant le système nerveux. Bien que le cerveau soit volontiers cité comme centre de supervision du système nerveux central des vertébrés, le même terme peut être employé pour le système nerveux central des invertébrés.

À noter que dans le langage courant, le terme « cerveau » est employé pour désigner l'ensemble de l'encéphale, c'est-à-dire la partie du système nerveux central située dans la boîte crânienne, ce qui inclut par exemple, le cervelet.

Le cerveau des vertébrés contrôle et coordonne la plupart des mouvements, du comportement, l'homéostasie des fonctions internes. tels que le rythme cardiaque, la pression artérielle et la température du corps.

Le cerveau présente une organisation fonctionnelle : certaines parties du cerveau gèrent plus spécifiquement certains aspects du comportement ou de la pensée. Mais cette division fonctionnelle n'est pas stricte, il serait en effet illusoire d'assigner une fonction aussi complexe que la mémoire, par exemple, à une région isolée. On peut néanmoins essayer de dessiner une cartographie du cerveau en aires cérébrales selon leur rôle dans la "cognition" : le langage articulé dans le lobe frontal au niveau de l'aire de "Broca", etc...

Chez la plupart des vertébrés, le cerveau se trouve dans la boîte crânienne, où il est protégé par les os du crâne, ainsi que par le liquide "céphalo-spinal". C'est un organe pair constitué de deux hémisphères connectés entre eux par des fibres de substance blanche via le corps calleux et les commissures.

Au stade embryonnaire, le cerveau des vertébrés se développe à partir du "neuroderme", lui-même issu de l'ectoderme (qui donnera aussi la peau).

article wiki sélectionné par MarMAra

La pensée :


La pensée est une activité qui se déroule au niveau du cortex cérébral et mobilise un ensemble de ressources mentales comme la réflexion, la mémoire, la représentation et la "cognition" en vue d'aboutir à un objectif comme la production d'une idée par exemple.

Au sens large, la pensée est l'activité psychique dans son ensemble, par exemple dans la philosophie classique, tout ce que l'intelligence éprouve, connaissance ou sentiment, etc ...

D'une manière plus restreinte, la pensée désigne l'activité réfléchie de la raison qui organise un ensemble d'intuitions au service d'une finalité ;

La pensée est ainsi un art de connaître par le moyen de règles logiques et de concepts, et de créer par le moyen de la créativité.

Souvent associée au célèbre "cogito ergo sum" de Descartes, la notion de pensée est aussi un héritage de l'antiquité, philosophie antique grecque et romaine, et traditions judéo-chrétiennes.

Dans les conceptions religieuses et mystiques, la pensée humaine correspond à une substance qui ne peut pas être dissociée de la matière, ni de la Création et de son créateur (Dieu).

Les êtres humains et la nature forment un tout, la Création. Dieu agit à travers la pensée de l'Esprit.

mercredi 27 mai 2009

le Martinisme


Le martinisme est un courant de pensée ésotérique, rattaché à la mystique judéo-chrétienne.

Ce courant de pensée remonte à Joachim Martinès de Pasqually, fondateur en 1761, de l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Coëns de l'Univers

puis à son secrétaire, Louis-Claude de Saint-Martin, dit "le philosophe inconnu", célèbre par son livre Tableau naturel des rapports qui existent entre Dieu, l'homme et l'univers (1782).

Le mot "martinisme" joue donc habilement sur les noms propres "Martinès" et "Saint-Martin".


Histoire :

C'est sous l'égide de Saint-Martin que le théosophe et occultiste Papus (Gérard Encausse) fonde l'Ordre Martiniste à la fin du XIXe siècle. Le martinisme est donc issu d'une rencontre entre la théosophie et la pensée de Saint-Martin.

L'historien de l'ésotérisme Antoine Faivre écrivait que « La Théosophie est la doctrine chrétienne des XVIe et XVIIe siècles, tantôt populaire et mystique, tantôt érudite et philosophique, représentée par Paracelse, Boehme, Weigel, Fludd, etc., et qui se caractérise par la réflexion analogique ou l'illumination intérieure, l'expérience spirituelle, les notions : d'émanation, de chute originelle, d'androgynat, de sophia, de réintégration, d'arithmosophie, et surtout de double force ».

Certains chercheurs n'ont pas hésité à donner comme source de ce mouvement des confréries hermétiques du XIe siècle.

(un article Wikipédia sélectionné par MArMara )

lundi 25 mai 2009

Développement durable



Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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Schéma du développement durable : à la confluence de trois préoccupations, dites « les trois piliers du développement durable ».

Le développement durable (ou développement soutenable, anglicisme tiré de Sustainable development) est une nouvelle conception de l'intérêt public, c'est un mode de développement appliqué à la croissance et reconsidéré à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects écologiques et culturels généraux de la planète. Il s'agit, selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland[1] :

« Un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »

Il s’agit, en s’appuyant sur des valeurs (responsabilité, participation et partage[2], principe de précaution, débat[3], innovation[4], …) d’affirmer une approche double :

* Dans le temps : nous avons le droit d’utiliser les ressources de la Terre mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations à venir ;
* Dans l’espace : chaque humain a le même droit aux ressources de la Terre.

Le développement durable s’est construit comme une réponse des institutions et des entreprises aux préoccupations de la société civile et de certaines organisations non gouvernementales, relatives aux impacts environnementaux et sociaux de l’activité des principaux agents économiques sur leurs parties prenantes.[5]

Tous les secteurs d'activité sont concernés par le développement durable : l'agriculture, l'industrie, mais aussi les services qui, contrairement à une opinion quelquefois répandue, ne sont pas immatériels

dimanche 24 mai 2009

Communauté et Rite funéraire



Rite funéaire est un ensemble de gestes et de paroles accompagnant l'agonie puis la mort d'un être humain.

Les anthropologues considèrent généralement que les rituels funéraires sont un des fondement ou critères du passage à la civilisation.

Ces rites semblent relever depuis toujours de la religion, mais la reconnaissance dans le monde contemporain d'une philosophie agnostique modifie la prise en compte des derniers instants de la vie et/ou permet l'émergence d'un nouveau type de rites et cérémonies.

La nature du rituel varie selon l'époque, le statut social du défunt, les croyances d'une société, les conditions du décès et parfois selon la volonté du défunt[1].

L'étude rétrospective des rituels funéraires par les indices laissés dans les tombes, croisées avec d'autres éléments archéologiques, permet de délimiter l'aire géographique et parfois l'histoire de sociétés disparues.

De même l'ethnologie attache une grande importance à l'étude des rites funéraires, qui éclaire la compréhension des rapports entre les individus et avec le monde tels qu'ils le conçoivent.

Les funérailles et le deuil collectif sont aussi l'occasion de moments particuliers de sociabilité qui marquent l'histoire d'un groupe.

* Un moment clé - pour un individu ordinaire - est l'embaumement, la crémation ou l'inhumation (enterrement) et plus rarement l'immersion en mer, l'anthropophagie (vraie ou symbolique, avec par exemple la consommation des cendres du cadavre brûlé) ou l'offrande du cadavre (généralement découpé, comme chez les peuples de l'Himmalaya) aux vautours.

* Les personnages célèbres ont parfois droit à des funérailles "exceptionnelles" [2]. La nature de l'hommage ultime et collectif ainsi que la mise en scène de la cérémonie, et l'érection d'un monument laissé à la postérité[3], varient suivant les époques et les périodes. Il est arrivé qu'on sacrifie l'entourage du défunt à sa mort.


Des comportements évoquant des rites funéraires ont été observés chez les animaux comme les éléphants et les hippopotames. On pourra consulter à ce sujet l'ouvrage de Julian Huxley, Le Comportement rituel chez l'homme et chez l'animal [4].

note de l'auteur : chez les baleines aussi

samedi 23 mai 2009

Charte éthique de l'Association Marmara :

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mercredi 20 mai 2009

Définition Symbole :


"symbole"




Le symbole est au sens propre et originel en Grèce Antique un tesson de poterie cassé en deux morceaux partagés entre deux contractants. Pour liquider le contrat, il fallait faire la preuve de sa qualité de contractant (ou d'ayant droit) en rapprochant les deux morceaux qui devaient s'emboiter parfaitement. Au figuré, le symbole devient l'ensemble qui lie deux représentations de la même signification. Par dérivation, le symbole se réduit à l'élément imagé ou audible qui est relié à un sens caché qu'il signifie. En sémiologie, le symbole est une représentation porteuse de sens. C'est un système signifiant relevant de la connotation, de l'analogie. Des opérations de distinction et de relation/unification produisent du sens pour un individu ou un groupe social. Le symbole apparaît ainsi comme la réalité visible (accessibles aux cinq sens) qui invite à découvrir des réalités invisibles ; L'ensemble des deux éléments (visible et invisible) forme un tout et l'un ne se comprend pas sans l'autre. Selon Creuzer, le symbole serait « situé entre la forme et l’être, entre l'expression et l'idée » .


Par extension, le symbole en est venu à désigner toute réalité qui en évoque d'autres, absentes ou abstraites, à l'aide d'une analogie implicite. Le symbole devient une représentation de l’absent et de l’imperceptible. Ainsi, tous les systèmes symboliques tentent d'exprimer des idées, des concepts, etc. Chez Carl Gustav Jung, les symboles individuels relèvent de l'inconscient collectif et rejoignent par là l'universel par où ils peuvent être décryptés comme archétypes.



Un symbole établit une relation d'analogie entre deux éléments. Il prend sa forme signifiante par une représentation mentale élargie, où le système symbolique et les symbolisés peuvent avoir des éléments d'analogie proche ou lointaine. Exemple : le couple soleil-lune représentant le couple homme-femme, lumière-ténèbres, et vérité-mensonge.

Correspondance entre deux éléments, le symbole est quelquefois utilisé tel un synonyme d'allégorie, métaphore, métonymie, synecdoque, emblème, signe, code, icône, fétiche. Exemples : un personnage aux yeux bandés portant une balance et un glaive sert d'allégorie pour la justice ; les lauriers en couronne sont l'emblème de la gloire.



lundi 18 mai 2009

Les trois grandes branches de la philosophie kantienne

Emmanuel Kant – le philosophe :
Les trois grandes branches de la philosophie kantienne sont les suivantes : philosophie théorique
(développée surtout dans la Critique de la raison pure), philosophie pratique (exposée dans la
Critique de la raison pratique'' et les Fondements de la métaphysique des moeurs) et esthétique (dans
la Critique de la faculté de juger).
* La philosophie théorique a pour but de répondre à la question « que
puis-je savoir ? ». Elle ne tente donc pas de connaître un objet
particulier (comme la Nature pour la physique ou le vivant pour la
biologie) mais de limiter et de déterminer la portée de nos facultés
cognitives c’est-à-dire de la raison en langage kantien (cf. le titre
Critique de la raison pure).
* La philosophie pratique a pour objet la question « que dois-je
faire ? » et elle comporte aussi bien la philosophie morale que la
philosophie du droit ou que la philosophie politique. La philosophie
pratique s’intéresse aussi à la question « que puis-je espérer? ». Elle
tente de montrer que même si cela est indémontrable, il faut croire si on
ne veut pas saper la morale que l’âme est immortelle et que Dieu va
punir et récompenser les hommes en fonction de leur vie sur terre.
* L’esthétique a pour objet de déterminer la nature et la portée exacte
de la faculté de juger, qui est au fondement du jugement esthétique et
qui a une fonction médiatrice entre philosophie théorique et pratique.
Solution à la crise de la Métaphysique - le Renversement critique : la
révolution copernicienne
Quelle sera la méthode exacte de Kant pour permettre une refondation de la métaphysique ? Kant
est très clair à ce sujet : il faut effectuer une révolution dans notre conception du savoir. C’est un
bouleversement épistémologique qui sera nécessaire pour transformer et donner de nouvelles bases
à la Métaphysique. En quoi consiste-elle ? Il s’agit de la célèbre révolution copernicienne.
Pour Kant, les connaissances scientifiques (et il pense par là à la physique et aux mathématiques du
XVIIIe siècle) sont en partie le résultat de l’activité cognitive du sujet. En d’autres termes, les
connaissances mathématiques et physiques sont rendues possibles par le sujet connaissant. Elles ne
sont donc pas le fruit d’une simple observation dans laquelle le sujet serait passif. Et quand Kant
dit: « c’est le sujet connaissant qui constitue les objets », il entend par là le fait que le sujet constitue
les objets de la connaissance (les équations ou des expérimentations par exemple) et non pas des
objets matériels comme des chaises, des tables etc.
planche degre 1 m 1 - 2 - 3 v0101 .odt
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La révolution copernicienne s’appelle ainsi car Copernic est le premier à avoir montré que c’est la
terre qui tourne autour du soleil et non le contraire. De la même façon, Kant veut nous faire
comprendre que le vrai « centre » de la connaissance est le sujet et non une réalité par rapport à
laquelle nous serions passifs. Ce n'est donc plus l'objet qui oblige le sujet à se conformer à ses
règles, c'est le sujet qui donne les siennes à l'objet pour le connaître.
Kant espère livrer avec la révolution copernicienne une explication satisfaisante de la nature de la
connaissance scientifique : il veut livrer un paradigme épistémologique décrivant de manière
correcte l’essence du savoir scientifique.
Cette nouvelle explication doit permettre de sortir la métaphysique de sa crise en lui livrant un
modèle juste de ce qui constitue la connaissance scientifique. La révolution copernicienne a donc
une fonction bien précise par rapport au projet général de re fondation de la Métaphysique, elle en
est la clé.

une onde


Onde :
Une onde est la propagation d'une perturbation produisant sur son passage une variation réversible
de propriétés physiques locales. Elle transporte de l'énergie sans transporter de matière.
Physiquement parlant, une onde est un champ. C'est à dire une zone de l'espace dont les propriétés
sont modifiées, on affecte à chaque point de l'espace des grandeurs physiques scalaires ou
vectorielles.
Comme tout concept unificateur l'onde recouvre une grande variété de situations physiques très
différentes.
* L'onde oscillante, qui peut être périodique, est bien illustrée par les rides
provoquées par le caillou qui tombe dans l'eau.
* L'onde solitaire ou soliton trouve un très bel exemple dans les
mascarets.
* L'onde de choc, perçue acoustiquement au passage du mur du son par
un avion, par exemple.
* L'onde électromagnétique n'a dans certains cas pas de support
matériel. En physique quantique, une onde électromagnétique est une
onde provoquée par une particule. Par exemple, le photon, est, selon
Einstein, une particule qui correspond à l'onde électromagnétique de la
lumière.
* L'onde acoustique qui en a un.
* L'onde de probabilité

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dimanche 17 mai 2009

La Science et le Mysticité :


La Science et le Mysticité :

La science (latin : scientia, « connaissance ») désigne de nos jours à la fois une démarche
intellectuelle particulière, et l'ensemble organisé des connaissances qui en découlent.
Par opposition aux dogmes, la science se base sur un examen raisonné et méthodique du monde et
de ses nécessités. Elle vise à produire des connaissances résistant aux critiques rationnelles, ainsi
qu'à développer nos moyens d'action sur le monde.
La science relève historiquement de l'activité philosophique, et fut pendant longtemps un exercice
spéculatif visant à élucider les mystères du monde par l'exercice de la raison. À la fin du Moyen
Âge, la science s'est progressivement détachée de l'emprise de la théologie et de la philosophie.
Au cours de son histoire, la science s'est structurée en disciplines scientifiques : mathématiques,
chimie, biologie, physique, mécanique, optique, pharmacie, médecine, astronomie, archéologie,
économie, sociologie.

idéogramme Gui (prononcé Kouie)


Les Gui se traduisent par démons, fantômes, revenants, le caractère chinois se prononce comme l’idéogramme Gui 歸 qui veut dire revenir.

Les Gui centripètes sont opposés aux Shen les esprits célestes, centrifuges. Les gui sont des manifestations tangibles qui se révèlent de façon inattendue, insolite, inquiétante. Ils sont les acteurs des forces inconscientes, chtoniennes, qu’ils quittent par effraction souvent attirés par les transgressions des humains envers eux-mêmes ou envers la nature, par des marques d’irrespect à l’encontre des forces vitales ou de la physiologie.

Comme le dit Zhuang Zi : ” les esprits des Gui et les esprits empereurs créent le Ciel et la Terre“.

argent - examens ? tarots divinatoires

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la notion de bien


Bien (philosophie)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre sélectionné par marmara.


En métaphysique, le bien, employé comme nom, désigne ce qui est absolument désirable. Il est donc partie liée au désir, et plus particulièrement au désir défini comme positivité (c'est-à-dire comme générateur de valeur – voir Spinoza ; Éthique, III – et non ici comme négativité, comme manque). Il forme avec son opposé, le mal, le couple conceptuel majeur de la philosophie morale.
Les notions de bien et de mal doivent beaucoup à leur utilisation dans un contexte religieux : est bien ce qui est conforme aux prescriptions divines, et mal ce qui s'y oppose.

Au point de vue d'une philosophie laïque ou athée, la signification et la pertinence même des concepts de bien et de mal ont fait l'objet de nombreuses analyses divergentes, depuis le questionnement du contenu des notions de bien et de mal prises dans un contexte profane jusqu'à celui de la possibilité même d'une morale laïque.

Outre cette portée morale, le « Bien » est un terme qui figure dans de nombreuses oeuvres philosophiques et dont les interprétations varient quelque peu.
•On différencie le « Bien », valeur catégorique, suprême, idéale, et le « bien », état relatif et restreint (cela prend part aux distinctions typographiques propre à la philosophie, telle « Idée » et « idée » qui se réfèrent à des concepts distincts). Un acte annoncé « bien » est donc, s'il est à effectuer, une chose que l'on doit réaliser, et s'il a déjà été accompli, une chose approuvée.
•Dans l'analyse qu'a fait Kant, l'expression du « Souverain bien » désigne tantôt l'idée de quelque chose de digne, de probe, ce qui n'est relatif qu'à la morale, et tantôt un état absolu de complétude (qui ne serait donc pas fragmentable).

•On a la conception originale de Rudolf Steiner : pour lui, ce qu'on appelle le bien découle souvent d'un automatisme moral. On le fait de manière contrainte. Alors que le véritable bien serait ce qu'on a reconnu comme juste et qu'on exécute avec amour (lire "Philosophie de la liberté" de Rudolf Steiner).

D'autre part, on parle aussi des biens extérieurs chez certains philosophes (Aristote, Sénèque).

samedi 16 mai 2009

extrait Planche Le feu :


(... extrait )
Le feu et l'Homme

Symbolisation
Dans la philosophie chinoise, il fait partie des cinq éléments avec le métal, l'eau, le bois et la terre.
Le feu est naturellement associé au Soleil, qui est également une source de chaleur et de lumière (on sait maintenant qu'il ne s'agit pas d'une combustion mais d'une fusion nucléaire). Il est également souvent associé aux volcans, comme par exemple le feu de la forge d'Héphaistos/Vulcain. Il est aussi associé aux quatre éléments (avec l'eau, l'air et la terre).


(...)

Sa "domestication" (à partir de l'Homo erectus) a marqué un tournant dans la Préhistoire, l'être humain se distinguant alors des autres espèces animales, qui ignorent cette technique. La maîtrise du feu comme fondement de l'Humanité a inspiré de nombreux mythes, dont celui de Prométhée. A l'époque contemporaine, plusieurs oeuvres de fiction ont dépeint l'importance du feu dans les planche atrium 7 le feu.odt
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civilisations préhistoriques, tel le film La Guerre du Feu de Jean-Jacques Annaud. L'on peut relever que des peuples ignorent encore l'usage du feu dans quelques régions reculées (comme en Papouasie-Nouvelle-Guinée).

(...)

vendredi 15 mai 2009

L’espace et la théorie des cordes :

La théorie des cordes est l'une des voies envisagées pour régler une des questions majeures de la
physique théorique :

* fournir une description de la gravité quantique c'est-à-dire
- l'unification de la
mécanique quantique ( petites échelles) et de la théorie de la
relativité générale । La principale particularité

de la théorie des cordes est que son ambition ne s'arrête pas à cette réconciliation, mais
qu'elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du
tout, tout en reposant sur deux hypothèses assez révolutionnaires :

· Les briques fondamentales de l'Univers ne seraient pas des particules ponctuelles mais des
sortes de cordelettes vibrantes possédant une tension à la manière d'un élastique. Ce que
nous percevons comme des particules de caractéristiques distinctes (masse, charge électrique,
etc) ne seraient que des cordes vibrant différemment. Avec cette hypothèse, les théories
des cordes admettent une échelle minimale, reliée à la taille de Planck, et permettent
ainsi d'éviter facilement l'apparition de certaines quantités infinies (on parle de « divergences
») qui sont inévitables dans les théories quantiques de champs habituelles।

पेतितेस कार्ड्स कुई विब्रेंट

· L'univers contiendrait plus de trois dimensions spatiales. Certaines d'entre elles, repliées
sur elles-mêmes (voir les théories d'Oskar Klein), passant inaperçues à nos échelles (par une
procédure appelée réduction dimensionnelle)।

इल एक्सिस्ते प्लुस दे ट्रोइस दिमेंसिओंस

La théorie des cordes a obtenu des premiers résultats partiels très prometteurs. Dans le cadre de la
thermodynamique des trous noirs elle permet de reproduire la formule de Bekenstein et Hawking
pour l'entropie des trous noirs. Elle possède également une richesse mathématique remarquable : en
particulier elle a permis de découvrir la symétrie miroir en géométrie.

planches02-05 v3.odt
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espace-temps questions philosophiques:

L’espace physique, ou espace-temps, soulève plusieurs questions philosophiques:

· L’espace est-il absolu ou relatif ? En d’autres termes, que se passerait-il si l’on poussait
l’univers entier de trois mètres dans une direction ? Pour la physique, l’espace-temps est
relatif, et un résultat théorique majeur (Théorème de Noether) montre que cela explique les
lois de conservation de la quantité de mouvement et de l’énergie.
· L’espace possède-t-il une géométrie propre ou la géométrie de l’espace est-elle uniquement
une convention?

La question des caractéristiques de l’espace avait été abordée par
· Isaac Newton (l’espace est absolu),
· Gottfried Leibniz (l’espace est relatif)
· Henri Poincaré (la géométrie de l’espace est une convention).

La notion d'espace :

En physique, la notion d’espace (et la façon dont celui-ci est modélisé mathématiquement) varie en
fonction des conditions expérimentales:

· En mécanique classique, dont les lois expliquent la quasi-totalité des phénomènes survenant
à échelle humaine, l’espace est modélisé comme un espace euclidien de dimension 3.

· La relativité restreinte, dont les lois prennent en compte le fait que la vitesse de la lumière
est une constante quel que soit l’observateur, introduit un lien entre l’espace et le temps.
L’espace-temps y est modélisé comme un Espace de Minkowski. Ces lois ne s’appliquent
que dans un cadre restreint (pas d’accélération du référentiel, pas de gravité).
Trompe-oeil

· En relativité générale, qui étend la mécanique classique en
intégrant le fait que la vitesse de la lumière est une
constante, l’espace, la matière et le temps sont liés.
L’espace-temps est modélisé mathématiquement comme
une variété de dimension 4, dont la courbure dépend du
potentiel de gravitation. L’espace tangent (approximation
de l’espace sur de petites distances et de petites durées, en
ignorant la courbure) est un Espace de Minkowski. Les
prédictions de la relativité générale ne s’écartent
sensiblement des prédictions de la mécanique classique
qu’à des champs de gravité extrêmement forts, ou à des
vitesses extrêmement élevées.

· En mécanique quantique, qui étudie les phénomènes à des
tailles tellement petites que les changements d’états ne
sont plus continus, mais se font par saut (les quantas),
l’espace est modélisé comme un espace euclidien de
dimension 3, mais la notion de position n’existe plus, et est
remplacée par la notion de fonction d'onde, ou nuage de
probabilité. Position et mouvement y sont liés par le
principe d'incertitude d'Heisenberg qui postule qu’ils ne
peuvent être connus simultanément avec précision, ce qui
rend impossible toute notion de trajectoire d’une particule.

Bien qu’efficace pour prédire les phénomènes, cette
modélisation pose des problèmes d’interprétation (voir par
exemple École de Copenhague). Pour les calculs, la
mécanique quantique ne considère pas la position du
système étudié, mais son état. Les états des sytèmes sont
modélisés mathématiquement dans un espace de Hilbert.
Dans cet espace aussi, les mouvements (changements
d'état) sont discontinus.

wiki (c)

La notion du temps :




Le temps est un concept développé pour représenter la variation du monde : l'Univers n'est jamais
figé, les éléments qui le composent bougent, se transforment et évoluent. Si on considère l'Univers
comme un système dans son ensemble, on dira qu'il a plusieurs états. Ces états, passés, présents et
futurs, et leur mesure, concourent à donner un concept du temps. Au cours de l'histoire, et au sein
des nombreux peuples de la Terre, la conceptualisation du temps a elle-même changé et s'est
adaptée à des évolutions profondes, tout autant factuelles qu'idéologiques. Philosophes,
scientifiques et hommes de la rue ont bien souvent des vues différentes sur ce qu'est le temps, et les
progrès des uns influencent les autres depuis des siècles. La psychanalyse et la psychologie
apportent également des éléments nouveaux au XXe siècle. Un questionnement profond s'est porté,
dans toutes ces disciplines, sur la nature intime du temps : est-ce une propriété fondamentale de
notre univers, ou plus simplement le produit de notre observation intellectuelle, de notre
perception ? La somme des réponses de chacun ne suffit évidemment pas à dégager un concept
satisfaisant et juste du temps, d'autant que ce questionnement est aporétique (difficile à cerner ) .

Mais l'examen minutieux de chacune d'entre elles et de leurs relations apportera d'intéressantes
réponses. Toutes ne sont pas théoriques, loin s'en faut : la « pratique » changeante du temps par les
hommes est d'une importance capitale.
De façon plus générale, il semble que le temps puisse être considéré (et considérer n'est pas
connaître) sous deux aspects :

· l'aspect cyclique : cycle des jours, des saisons, de la vie...
· l'aspect linéaire : évolution, transformation irréversible, passage de la naissance à la mort...

Les Degrés et sections chez Marmara :

I. La section des postulants


* 1 ere planche : fichier planches02-05 palm

La Révolution Copernicienne : ...........................................................................................................3
Le droit de propriété :.....................................................................................................................4
Le cerveau : ...................................................................................................................................5
La pensée :.....................................................................................................................................6

pour la gestion du stress :
la concentration :..............................................................................................................................6
L'intuition

* 2eme planche 6 pages
//fichier : exemple de planche,pdf

présentation Marmara :
Les pharaons mystiques – écoles de mystères :....................................................................................3
Les cycles : ........................................................................................................................................ 4
Temps ............................................................................................................................................4
Planche 3 - Degrés et sections : ...........................................................................................................5
Planche 4 -La notion du temps :.......................................................................................................... 6
Planche 5 - La notion d'espace :......................................................................................................... 7
L’espace et la théorie des cordes


* 3 eme planche : la définition du mysticisme

Le premier degré :

planche scientifique.


Il existe au-delà : 2 autres degrés pour l'instant .

Les pharaons mystiques – écoles de mystères :

Amenhotep IV (Aménophis IV en grec ancien, Akhénaton
ou, plus rarement, Khounaton et Akhnaton) est le
neuvième pharaon de la XVIIIe dynastie (période du Nouvel
Empire). Manéthon l’appelle Aménophis.
On situe son règne de -1355 / -1353 à -1338 / -1337.

Il est le fils de la reine Tiyi et du roi Amenhotep III. Considéré
parfois comme l’un des plus grands mystiques de
l’Histoire, il bouleverse l’histoire de l’Égypte en voulant
imposer à ses sujets le culte exclusif de Rê-Horakhty « qui
est dans Aton »[2], dont il est à la fois le prophète et l’incarnation.
Son règne voit aussi l'émergence d'une nouvelle
esthétique, à la fois baroque et naturaliste, l’art amarnien .
Il va imposer la première religion hénothéiste connue de
l'histoire, privilégiant le culte du disque solaire Aton.
« Éclat d’Aton (ou, en l'absence du déterminatif : Utile à Aton) »

wiki (c)

jeudi 14 mai 2009

mercredi 6 mai 2009

création nouvelle association

http://bfab.club.fr/index.html

ASSOCIATION MARMARA

But : Aborder certaines thématiques

de la franc-maçonnerie telles que :

* La révolution copernicienne ?

* Le droit à la propriété ?

* Le cerveau siège de la pensée ?

Exemple de planche à télécharger

Autres abordés thèmes :

La notion de temps :et de l'espace

La théorie des cordes

La COTISATION mensuelle est actuellement de
10 EUROS

(assoc loi 1901 sans obigation))

nous écrire pur être selectionné : accueil.marmara@gmail.com

lien vers http://bfab.club.fr/